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Journal | Janvier 2019

 
  • mardi 1er, quatre films !
Orange Mécanique
Orange Mécanique

Orange Mécanique, film de Stanley Kubrick, 1971

Quoi de mieux pour commencer l’année, franchement ?!
#ObjectivitéPartieEnVacancesLoinLoinTrèsLoin

 

Docteur Folamour ou comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe
Docteur Folamour ou comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la bombe

Docteur Folamour ou comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la bombe, film de Stanley Kubrick, 1964

Ou comment voir les choses en face tout en s’amusant... En plus, Peter Sellers sont absolument formidables.

 

Eyes Wide Shut
Eyes Wide Shut

Eyes Wide Shut, film de Stanley Kubrick, 1999

Je sais plus si je vous ai dit que j’aimais bien Stanley Kubrick...
Plus je le regarde, plus je constate la savante et maîtrisée alchimie symbolisme-cadre-focale-mouvement-couleurs-positionnement des personnages pour raconter bien plus qu’une histoire... Bien que ce ne soit pas le plus aimé, je crois que c’est un de ses chefs-d’œuvre les plus aboutis (oui, tout comme Bergman et quelques autres, Kubrick doit être polycéphale ?). #Top10

 

Sonate d'automne
Sonate d’automne

Sonate d’automne, film de Ingmar Bergman, 1978

Tiens, quand on parle du loup...
Bien d’accord. À quoi ça sert de faire souffrir en retour. Si encore on pouvait revenir sur le passé. Pas excuser non plus, mais ne pas pourrir le présent pour autant. Froideur ou... délicatesse ?

 

 
  • vendredi 4, encore un
Saraband
Saraband

Saraband, film de Ingmar Bergman, 2003

Ben quoi ?!

 

 
  • dimanche 6, monomanie
The Shining
The Shining

The Shining, film de Stanley Kubrick, 1980

*_* #Top10 et une affection particulière...

 

 
  • mardi 8, ciné (récent)
Leto
Leto

Leto, film de Kirill Serebrennikov, 2018

Sympa même s’il ne me laissera pas un souvenir impérissable.

 

 
  • mercredi 9, ciné
Harakiri
Harakiri

Harakiri, film de Masaki Kobayashi, 1962

La vie en lutte face à la société des apparences, clairement montrée en carcasse vide et pourtant, la fin est donnée dans le titre... Classique et toujours d’actualité, signature des thèmes fondamentaux, dans une mise en œuvre remarquable. Ne pas passer à côté, ce serait bien dommage...

 

 
  • jeudi 10, théâtre
Hamlet — Il nous faut arracher la joie aux jours qui filent...
Hamlet — Il nous faut arracher la joie aux jours qui filent...

Hamlet — Il nous faut arracher la joie aux jours qui filent..., Benjamin Porée / d’après Hamlet de William Shakespeare, création 2018

Mise en scène moderne pour cette adaptation d’Hamlet, ayant recours à la vidéo, champ de recherche de plus en plus exploité dans le spectacle vivant, et que je trouve fort intéressant. Malheureusement, elle m’a paru bien trop présente. Je me suis ennuyée (au point de me demander s’il n’en était de même pour les acteurs ?), j’ai trouvé que ça sonnait creux, suffisant, manquant de subtilité, en bref mal fagoté, à moins que j’ai loupé une marche ? Donc pas aimé du tout (partie avant la fin, ce qui est à peu près aussi fréquent pour moi que de ne pas aller jusqu’au bout d’un film...)

 

 
  • dimanche 13, musée
Musée d'Arts de Nantes
Musée d’Arts de Nantes

Musée d’Arts de Nantes

Une belle collection couvrant une très large période tout en laissant une place de choix à l’art classique et à l’art contemporain, chacune se développant dans une partie différente du musée, jouant sur les contrastes architecturaux. J’ai particulièrement bien aimé « le Cube » et ses collections modernes et contemporaines et serai attentive aux expositions annoncées lors de déplacements à Nantes parce que j’aurai plaisir à y retourner à l’occasion. (Éviter dans la mesure du possible le dernier dimanche d’une expo, le musée était bondé et beaucoup d’attente pour une thématique qui ne me passionnait pas plus que ça, en tous cas pas dans ces conditions ;) )

 

 
  • lundi 14, ciné
Old Boy
Old Boy

Old Boy, film de Park Chan-wook, 2003

Un homme enfermé pendant 15 ans sans savoir pourquoi cherche à comprendre et à assouvir sa vengeance, ou l’absurde revisité dans un thriller musclé et diablement rythmé. On en a plein les yeux, le nez, les oreilles jusque chaque pore... Sensationnel donc. Depuis longtemps conseillé par un ami, merci ! Je transmets : à voir !!! (Attention : violent)

 

 
  • mardi 15, ciné
Une affaire de famille
Une affaire de famille

Une affaire de famille, film de Hirokazu Kore-eda, 2018

Petite étude de ce que l’on nomme famille, entre tendresse plus ou moins apparente et coups durs, au-delà des définitions généralement admises. Un très chouette moment en ce qui me concerne.

 

 
  • mercredi 16, ciné
Mandy, crash of silence
Mandy, crash of silence

Mandy, crash of silence, film de Alexander Mackendrick, 1952

Dans le cadre d’un cycle dédié au Free Cinema, la « nouvelle vague » anglaise, la vie de cette petite fille vers la fin du silence, par ses yeux et ceux de son entourage dans une réalisation très juste, sensible et novatrice pour l’époque, dans les décombres de l’après-guerre. Beaucoup aimé.

 

 
  • dimanche 19, ciné
Maya
Maya

Maya, film de Mia Hansen-Løve, 2018

À voir la bande-annonce je m’attendais à un film sur la reconstruction de soi, la question du mouvement vers l’autre et l’acceptation de celui de l’autre vers soi pour un protagoniste qui a passé plusieurs mois retenu en otage, une réflexion sur le complexe du survivant, sur le statut de la liberté du journalisme... J’ai vu quelque chose qui n’avait pas grand chose à voir (quelle idée aussi d’avoir des attentes ^_^), plutôt superficiel et plat, une psychologie des personnages qui m’a semblé grossière. Fallait-il surfer sur la thématique (au moins en apparence) du terrorisme pour attirer le chaland ? Au final assez déçue.

 

 
  • mardi 22, BD
Moi, ce que j'aime, c'est les monstres
Moi, ce que j’aime, c’est les monstres

Moi, ce que j’aime, c’est les monstres — Livre premier, roman graphique d’Emil Ferris, Éditions Monsieur Toussaint Louverture, 2018

Moi ce que j’aime c’est les monstres fait partie de ces obni qu’on ne peut pas oublier une fois qu’on l’a lu. Il me fait penser à Habibi, à Maus, à V pour Vendetta, à From Hell et tous les autres qui vous restent chevillés aux tripes. Le cœur n’est pas loin. Que du bon tant dans le fond que dans la forme, sans parler du superbe travail d’édition effectué par la maison Monsieur Toussaint Louverture, le meilleur bouquin à narration graphique que j’ai lu depuis bien longtemps (je parle en années). Vivement la suite !!!.

Voir des extraits

 

 
  • jeudi 24, ciné
The Mule
The Mule

The Mule, film de Clint Eastwood, 2019

Des sujets pas faciles traités de très belle façon. La vie, la mort, le temps, la famille, l’amour... Pas son meilleur, mais je n’en raterais pas une miette pour autant =) La mule est humaniste.

 

Première mise en ligne 18 janvier 2019, dernière modification le 3 mars 2023

LR CC by-nd

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